Un air de violon s'élève d'une des chambres de l'auberge de jeunesse de Plovdiv, sur la terrasse le temps s'est arrêté.
Si l'appel de la route était mis en musique je crois qu'il sonnerait comme cet air de violon aux accents slaves. Une musique tzigane plaintive et pourtant si pleine d'espoir, qui vous prend au cœur.
Je relis mes dernières publications sur ce blog et je remarque que je n'ai cessé depuis le début du voyage d’espérer la chute de mes murailles intérieures.
Aujourd'hui je sais que ce moment est arrivé, je n'ai plus rien, je suis nu, exposé aux émotions, fragile et, si je ne me suis jamais senti aussi libre, je n'ai plus rien pour me protéger de l'air de violon qui est monté, crescendo, dans un coin de mon esprit.
L'appel de la route.
Aujourd'hui, sur cette terrasse, j'ai pris ma décision. Je continuerai sur ce chemin qui m'appelle. Loin, toujours plus loin, ce "toujours plus loin" qui vous ramène chez vous un matin étonné et heureux de que la terre soit ronde.
Écrasé par la peur et le doute, je suis heureux.
Si l'appel de la route était mis en musique je crois qu'il sonnerait comme cet air de violon aux accents slaves. Une musique tzigane plaintive et pourtant si pleine d'espoir, qui vous prend au cœur.
Je relis mes dernières publications sur ce blog et je remarque que je n'ai cessé depuis le début du voyage d’espérer la chute de mes murailles intérieures.
Aujourd'hui je sais que ce moment est arrivé, je n'ai plus rien, je suis nu, exposé aux émotions, fragile et, si je ne me suis jamais senti aussi libre, je n'ai plus rien pour me protéger de l'air de violon qui est monté, crescendo, dans un coin de mon esprit.
L'appel de la route.
Aujourd'hui, sur cette terrasse, j'ai pris ma décision. Je continuerai sur ce chemin qui m'appelle. Loin, toujours plus loin, ce "toujours plus loin" qui vous ramène chez vous un matin étonné et heureux de que la terre soit ronde.
Écrasé par la peur et le doute, je suis heureux.