Baptiste
Je m'appelle Baptiste, j'ai 21 ans.
J'ai désormais fini mon collège et j'aimerais une fois rentré, continuer mes études dans le domaine de l'éducation primaire à Genève tout d'abord puis après une année, entrer, si j'y arrive, à la Haute Ecole Pédagogique de Lausanne.
J'aime aller au bout de mes idéaux et mes convictions. Je me suis engagé pendant trois ans dans l'association d'élèves du collège Voltaire pour en devenir le Co-Président en 2011-2012. Engagé aussi dans le groupe "Développement durable" du collège j'ai vite remarqué que bien que l'écologie m’intéresse mon engagement premier devait se centrer sur l'humain. Je me suis donc engagé au sein de l'association Stop Suicide (http://www.stopsuicide.ch/site/) entre 2011 et 2013.
Je fais également régulièrement des remplacements à l'école primaire.
Voyager est, avec l'écriture et l'engagement associatif, une de mes plus grandes passions.
Pour résumer, lorsque je pense au voyage je pense d'abord à mon présent qui en est plein, à mon futur qui j'espère en verra d'autres et à mon passé bien sûr qui m'a façonné tel que je suis.
Je pense au bruit de la page qui se tourne et aux écrivains qui ont bercés mon enfance déversant dans ma tête récits d'aventures, contes et voyages immobiles.
Je pense aux migrations ancestrales des oiseaux, au son des vagues sur les plages, au vent, au sable et à l'écume.
Je pense, c'est déjà beaucoup, mais surtout je vis et c'est le plus important.
Manon
Qui suis-je ? En voilà une bonne question… Pour commencer je crois que je dirai que je n’aime pas beaucoup cette question. J’ai 18 ans, je m’appelle Manon, et je suis également élève au collège Voltaire. Par la suite je compte continuer à l’université en géographie certainement… Mais tout ça est encore un peu flou.
Une chose est sur… j’aime la découverte et l’aventure. Le voyage, la montagne ou le sport ; faire du vélo, du ski ou de la grimpe... tout cela me permet de m’évader.
Pour moi un voyage est avant tout une fuite, mais également une rencontre. Une rencontre autant avec les autres qu'avec soi-même...
Une chose est sur… j’aime la découverte et l’aventure. Le voyage, la montagne ou le sport ; faire du vélo, du ski ou de la grimpe... tout cela me permet de m’évader.
Pour moi un voyage est avant tout une fuite, mais également une rencontre. Une rencontre autant avec les autres qu'avec soi-même...
Arthur
Je m’appelle Arthur, j’ai 21 ans, et j’ai entrepris une partie du voyage avec Baptiste.
Je me souviens, c’est parti comme ça, un rêve dans les yeux, une conversation autour d’une bière, une envie brûlante de départ. Un an avant de partir il me racontait déjà son projet avec un enthousiasme que je n’ai pu que partager, si bien que j’ai posé la question, spontanément : et si je partais avec toi ?
Pour des raisons de temps – je suis actuellement étudiant à la Haute Ecole des Arts de Berne, où je termine un Bachelor en écriture littéraire – je ne pouvais quitter la Suisse qu’un peu plus de trois semaines. J’ai donc proposé à Baptiste de faire le premier mois avec lui, les premiers 1000 kilomètres. Mon premier voyage à vélo m’amènerait donc de Genève jusqu’à Vienne, et, avec un peu de chance, jusqu’à Budapest.
De retour des bains hongrois, finalement arrivé à destination après avoir bravé un mois de mars froid (et enneigé !), j’ai rangé mon vélo dans la cave et défait mes sacoches, en attendant le prochain départ... tandis que Baptiste continue sa route jusqu’aux toits du monde.
Je me souviens, c’est parti comme ça, un rêve dans les yeux, une conversation autour d’une bière, une envie brûlante de départ. Un an avant de partir il me racontait déjà son projet avec un enthousiasme que je n’ai pu que partager, si bien que j’ai posé la question, spontanément : et si je partais avec toi ?
Pour des raisons de temps – je suis actuellement étudiant à la Haute Ecole des Arts de Berne, où je termine un Bachelor en écriture littéraire – je ne pouvais quitter la Suisse qu’un peu plus de trois semaines. J’ai donc proposé à Baptiste de faire le premier mois avec lui, les premiers 1000 kilomètres. Mon premier voyage à vélo m’amènerait donc de Genève jusqu’à Vienne, et, avec un peu de chance, jusqu’à Budapest.
De retour des bains hongrois, finalement arrivé à destination après avoir bravé un mois de mars froid (et enneigé !), j’ai rangé mon vélo dans la cave et défait mes sacoches, en attendant le prochain départ... tandis que Baptiste continue sa route jusqu’aux toits du monde.